lundi 25 décembre 2006

Histoire de la famille Piketty - Parenté italienne de l'ancêtre

Extrait du livre "Antoine Piketty et sa famille"



Parenté italienne de l'ancêtre


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Annexe :


Extrait du Registre des Baptêmes et Sépultures de la paroisse de VEGLIO

1775
Décès de Jean-Baptiste PICHETTO, ép. d'Antoinette GUELPA, muni des sacrements de l'église, bénédiction papale le 21 Juin.

1787
Baptême de Charles Antoine PICHETTO né le 16 Octobre, fils de Charles et d'Agnès BOTTO, baptisé le 17 ; parrain Jacques CAVEGGIA, marraine Jeanne DAZZA.

1796
Décès de Jean Antoine BOTTO, mort subitement le 28 Décembre, inhumé le lendemain.

1798
Décès d'Antoinette, veuve de Jean-Baptiste PICHETTO, à 72 ans, munie des sacrements de l'Eglise, inhumée le lendemain 3 Octobre.

1803
Décès d'Agnès, épouse de Charles PICHETTO, munie des sacrements de l'église, à 50 ans, inhumée le 3 Juin.

1813
Décès de Marie-Madeleine, épouse d'Antoine BOTTO, munie des sacrements de l'église, à 85 ans, le 15 Janvier, inhumée le lendemain.

1818
Décès de Charles Jean Baptiste PICHETTO, à 59 ans, muni des sacrements de l'Eglise le 23 Mars et inhumé le lendemain.


Extrait du certificat épiscopal de BIELLA le 23 Décembre 1820

". . . . Antoine fils de feu Charles PICHETTO de Veglio de plus de 30 ans d'âge, a habité au lieudit, et a toujours été en état de liberté et d'indépendance, et est exempt de liens matrimoniaux, libre de contracter."


Extrait des actes de Mariage de MARCIGNY, Saône et Loire

"Le mariage entre
M. PIKETTY, Charles Antoine
né à Veglio (province de Biella, Lombardie) le 16. 10. 1787
fils de M.PIKETTY Charles décédé
et de Mme BOTTO Agnès décédée
et Mlle JACQUET Jeanne Marie
née à Marcigny le 14 Mars 1796
fille de M. JACQUET François
et de Mme GARMIER Jeanne Marie
a été célébré à la mairie le 4 Mai 1824."




N.B. - En rapprochant l'extrait de 1803, et la date d'arrivée à Marcigny d'Antoine, on est en droit de conclure que le décès de sa mère à 50 ans a été l'une des conséquences du malheur de la guerre qui a entraîné la dispersion de la famille.
L'adolescent entraîné en France n'a pas, semble-t-il, laissé de correspondance avec ses proches avant d'avoir eu le besoin de papiers en vue de son mariage. Son père venait alors de mourir, et les lettres que nous avons retrouvées et datant des années 1830, démontrent qu'il avait alors fixé son existence en France, et renoncé à réintégrer la terre natale tout en y ayant retrouvé liens et intérêts de famille.


François PIKETTY
Mars 1972